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  • : Le titre de ce blog est "regards". Regards sur le monde, regards sur les autres, sur les amis, sur les êtres qui marquent ma vie, sur les laissés pour compte anonymes qui meurent de notre indifférence et ne survivent que de notre regard.
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En passant...

ami(e)s ont visité ce blog depuis le 16 Juillet 2006 ! Merci à tous de passer me voir de temps en temps :-) !
6 novembre 2006 1 06 /11 /novembre /2006 22:50

Instantané pris à Bailly, dans les Yvelines. A vue de nez, le diamètre du trou correspond à un calibre de neuf millimètres.

Je laisse libre cours à votre imagination. Qu'a-t-il bien pu arriver pour que cette pauvre boite aux lettres ait reçu un tel impact ? Les meilleurs scénarii seront publiés !!! A vos plumes...

Bonne soirée...

Fabrice

 

 

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commentaires

L
Ben quoi, mon scenario n'est pas retenu ?
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L
Peut-être bien que cette boîte était installée en Corse, près d'une gendarmerie, d'une mairie ou d'un commissariat et qu'ils ont décidé, dans les Hautes Sphères de la Poste, de la laisser couler des jours heureux, après de longues années de bons et loyaux services et avant de la mettre définitivement à la réforme.Euh non, pas taper, hein ...je voudrais pas avoir de problème avec les Corses, d'autant que je veux y aller en vacances l'année prochaine. Tu avais demander de l'imagination, elle est pas trop fertile en ce moment, la mienne, suis trop fatiguée, alors j'ai pas trouvé mieux.Biz'Lutine
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K
Arrrrrgh !j'aurais jamais le temps !
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A
« C’est bien du neuf millimètre » affirma l’inspecteur Lavargouille, chargé de l’enquête que l’on avait à présent surnommée « l’affaire des boîtes jaunes ». <br /> C’était la 18ème boîte qui avait servi de cible au mystérieux vandale qui sévissait dans la ville et toutes les pistes avaient conduit à une impasse.<br /> Lavargouille décida alors de planquer devant une boîte qui n’avait pas encore été touchée. Décidé à faire de cette enquête son premier triomphe et de voir son grade promu par le commissaire, il ne se faisait remplacer que très rarement et surtout pour très peu de temps dans la petite clio grise.<br /> Au bout de quatre jours, il connaissait tous les habitants du quartier et en avait appris leurs moindres habitudes. Mais aucun signe de vie du tueur des boîtes jaunes. Il fallu plus d’une semaine pour qu’une nuit, un individu louche s’approche, sous les yeux fatigués de Lavargouille. La silhouette se détachait vaguement sous le halo d’un réverbère, mais suffisamment pour qu’il s’aperçoive qu’elle tenait un objet dans sa poche. Lavargouille appela aussitôt du renfort avant de s’approcher discrètement de l’individu qui avait déjà sorti son arme. L’inspecteur s’écria « Police ! Posez cette arme à terre et les mains sur la tête ! ». L’inconnu, surpris se retourna et la balle partit. Touché à l’épaule, Lavargouille se retrouvait étendu sur le trottoir tandis que le coupable se pencha vers lui, l’arme toujours en mains, avant de s’exclamer « Oh pardon mon chéri, c’est parti tout seul ! ». <br /> Lavargouille aperçut alors qu’il avait devant lui son épouse. « Mais ..Pourquoi ?...Pourquoi ? » Parvint t-il a dire malgré la douleur.<br /> La femme avait déjà saisi son téléphone portable pour appeler de l’aide. Elle revint vers lui, l’air affolé : « C’est que je ne savais plus quoi faire pour attirer ton attention ma petite grenouille ! Toujours le travail, le travail, il n’y avait plus que le travail qui comptait et on ne se voyait plus du tout ! Alors j’ai imaginé ça pour qu’enfin tu t’intéresses à moi mon petit coincoin en sucre : et j’ai réussi car je suis devenue ton obsession ! Mais là j’ai raté mon coup, tu m’as fait peur et le coup est parti tout seul ! Pardon mon bébé triton » Lavargouille fut emporté par le Samu et son épouse par la police. Elle fut condamnée à 3 mois ferme et reçut chaque jour la visite de son mari qui avait à présent tout son temps : le commissaire l’avait remis à la circulation. Ainsi fut résolu « l’affaire des boîtes jaunes ».
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L
Après "l'homme aux cercles bleus" de Fred Vargas, nous avons "le dingue des boites aux lettres" de Fabrice Trucmuch... <br /> Le truc est tout simple... Viré de la poste à coup de merci bien, merci beaucoup, merci pour tout, le héro bousille une à une chaque boite aux lettres que le hasard veut bien placer sur sa route... La motivation est toute simple... Une boite aux lettres coûte environ 500 euros ! L'obectif : en bousiller autant que de salaire mensuel puis annuels il a perdu... Son rythme : 4 par mois et ça fait des années que ça dure... C'est qu'il a la rancune tenace ! <br /> Et la cerise sur le gâteau... c'est que...<br /> Le missieur, en plus de bousiller les boites aux lettres... il les garni de crottes de chien ramassées de ci de là, au rythme de ses pas...<br /> Voila... c'était ma petite contribution du jour...<br /> Bonne journée à toi Fabrice...<br /> Des bisous.<br /> Laurence<br />  
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